feuille paroissiale du 13 juin 2020

13 juin 2020

LETTRE D’INFORMATIONS DU 13 JUIN 2020

La fête du Saint Sacrement : le Corps et le Sang du Christ

Dans l’évangile de ce dimanche, Jésus annonce qu’il est le pain vivant descendu du ciel : ce pain dont il parle est sa chair. Évidemment, les juifs se moquaient de lui : « Comment celui-là peut-il nous donner sa chair à manger ? »

« Manger sa chair et boire son sang » ; c’est une allusion de la présence réelle du Christ dans l’eucharistie, sous l’apparence du pain et du vin. Et cette nourriture nous assure la vie éternelle : celui qui mange les autres nourritures, il est mort, « mais celui qui mange ce pain, vivra éternellement ».

Le Saint Sacrement, porte aussi le nom de « communion ». C’est un repas commun qui unit tous les fidèles, ils partagent ensemble avec le prêtre le même repas : le corps et le sang du Christ.

L’eucharistie est la source et le sommet de la vie chrétienne.

L’eucharistie est la mémoire du sacrifice du Christ : « Faites cela en mémoire de moi. »1 Cor. 11, 24-25

L’eucharistie qui nous unit avec le Christ comme il a dit : « Et moi, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde » (Matthieu 28, 20).

Donc, l’Eglise nous invite toujours à recevoir l’eucharistie : « le Corps du Christ » sauf s’il y a un motif grave qui nous empêche. Mais pour éviter la routine, et pour recevoir dignement la très sainte communion, la personne doit être en état de grâce. C’est vrai que dans notre vie quotidienne, nous ne sommes pas parfaits, il y a toujours ce que certaines gens disent être : « les petits péchés ». Mais cela nous aide à faire toujours l’examen de conscience. Et si nécessaire, cela nous pousse à aller nous confesser.

Saint Paul dit : « Que chacun donc s’éprouve soi-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe ; car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même. C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre sont morts… » (1 Cor 11,29)

Le Catéchisme de l’église catholique nous rappelle : « celui qui est conscient d’un péché grave doit recevoir le Sacrement de la Réconciliation avant d’accéder à la Communion »

Le Pape Benoît XVI dans sa lettre sur l’Eucharistie dit : « à notre époque, les fidèles se trouvent immergés dans une culture qui tend à effacer le sens du péché, favorisant un comportement superficiel qui porte à oublier la nécessité d’être dans la Grâce de Dieu pour s’approcher dignement de la Communion sacramentelle » (« Sacramentum caritatis », n 20)

Je pense que ces paroles sont un peu dures pour nous, mais cela nous aide à réfléchir aussi sur l’importance du sacrement de la réconciliation. Ce n’est pas la loi qui guide notre vie, mais la grâce de Dieu, la miséricorde : Est-ce que je suis en bonne relation avec Dieu ? Si non, qu’est-ce que je dois faire avant la communion ? Saint Jean dit : « Si nous confessons nos péchés, Il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité » ( 1 Jean 1,8-9)

D’après l’histoire de l’Église, c’est le Pape Urbain IV en 1264 qui introduit cette fête dans l’Église. Mais le Pape Jean XXII en 1318 ordonne de porter le saint sacrement en cortège dans la rue. Et je me rappelle bien, quand j’étais petit, dans notre paroisse (à Madagascar), chaque année le jour du Saint Sacrement, nous avons fait la procession dans la rue avec des milliers des personnes qui ont suivi la procession.

A la fin de mon propos, je remercie aussi tous les paroissiens qui dépensent leur temps devant le Saint Sacrement dans notre paroisse. Cette adoration eucharistique marque notre dévotion personnelle, et notre respect envers le Saint sacrement.

Père Pascal Ratiarison

ACTUALITÉS

Venez à moi, vous tous... !

11 juin 2020

A l’occasion de la Solennité du Sacré-Coeur de Jésus, le curé d’Orange et la communauté de l’Emmanuel vous invitent à la veillée ’miséricorde et consolation’ le vendredi 19 juin de 20h30 à 22h00 à l’église Saint Florent d’Orange.

Venez à moi, vous tous qui peinez et qui ployez sous le fardeau. Mt 11, 28

En cette fin d’année scolaire, après tous les bouleversements que nous avons vécus, répondons à Jésus et venons nous blottir contre son Coeur, havre de grâce et d’apaisement. Voici ce Coeur qui a tant aimé les hommes.

Même si nous nous sentons indignes et fragiles, même si nous avons peur, venons pour L’adorer, Lui dire merci, Lui confier nos péchés.

Cette soirée fera résonner notre louange et se prolongera dans l’adoration eucharistique pendant que plusieurs prêtres seront présents pour écouter les confessions et donner le sacrement du Pardon et de la Miséricorde.

Pour les personnes n’habitant pas Orange, le stationnement est très facile au Parking du théatre antique - Cours Pourtoules.
L’église Saint Florent est juste à côté du théatre antique.
On y accède par la rue de l’ancien hôpital.

Se tourner vers le Sacré-Coeur de Jésus est une attitude de confiance qui s’est particulièrement développée en France depuis 1673 - 1675 puis dans l’Eglise Universelle Catholique depuis le XIXe siècle. Par ailleurs, nous fêtons cette année le centenaire de la consécration de la Basilique du Sacré-Coeur de Montmartre. A Orange, dans la cathédrale Notre-Dame, une chapelle est dédiée au Sacré-Coeur.

Le Sacré-Coeur à la Cathédrale d’Orange

9 juin 2020

Entre 1673 et 1675, à Paray le Monial, Jésus apparaît à une religieuse de l’Ordre de la Visitation, sainte Marguerite Marie : Jésus lui dévoile son Coeur « passionné d’amour » et lui exprime son désir d’être aimé en retour. Il lui rappelle son amour pour tous les hommes dont il regrette la froideur et l’ingratitude, spécialement envers sa présence Eucharistique. Il demande alors l’institution d’une nouvelle fête pour honorer son Coeur en communiant avec un amour tout particulier ce jour-là.
Il s’agit de la Fête du Sacré-Coeur, célébrée trois semaines après la Pentecôte, qui sera instituée officiellement en 1765 et étendue à toute l’Église en 1856 par le Pape Pie IX.

Lors de la guerre de 1870, un vœu national au Sacré-Cœur promet la construction d’une basilique à Paris. Sa construction est décidée par l’Assemblée Nationale en 1873, peu de temps après que la France ait été consacrée au Sacré-Cœur.
Cette construction a lieu à la fin du Pontificat du Bienheureux Pape Pie IX (1846 – 1878). C’est lui qui, en 1859, a étendu la Solennité du Sacré Cœur à l’Eglise universelle. Il a aussi béni le projet de Montmartre et a invité tous les catholiques du monde entier à se joindre à lui pour la consécration de l’Eglise universelle au Sacré-Cœur de Jésus le 16 juin 1875. C’est ce jour que choisit le Cardinal Joseph Guibert, archevêque de Paris, pour bénir la première pierre de la Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre.

En 1886 a lieu à Orange une grande mission à la fin de laquelle la décoration de la chapelle de la confrérie de la Grande Miséricorde est entièrement redécorée. Le vitrail de la chapelle date de 1890. Il évoque les apparitions de Jésus à Sainte Marguerite Marie et la date du 16 juin 1875 en représentant – unis dans la prière – le Pape Pie IX et la Cardinal de Paris tenant dans ses mains une maquette de la Basilique de Montmartre.

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Les peintures de la chapelle sont aujourd’hui très usées mais on y reconnaît le blason du Bienheureux Pape Pie IX et le blason de Léon XIII (1878 – 1903) qui, en 1890, était le pape régnant. C’est lui qui consacrera tout le genre humain au Sacré-Cœur de Jésus en 1899, comme il l’explique dans la lettre encyclique Annum sacrum.

Plus bas, l’autel en marbre et brocatelle donne à méditer sur le mystère du Cœur de Jésus avec la citation de l’Evangile (St Matthieu chapitre XI) :

Discite a me quia mitis et humilis sum corde
Apprenez de moi que je suis doux et humble de cœur.

Et de part et d’autre, des médaillons eucharistiques orné d’une citation de l’hymne Sacris solemniis composé par St Thomas d’Aquin pour la Solennité du Très Saint Sacrement :

Dedit fragilibus corporis ferculum,
Dedit et tristibus sanguinis poculum,

Il donna son Corps comme aliment aux fragiles,
Il donna aussi son Sang comme boisson aux tristes

Charles de Foucauld

L’annonce de la prochaine canonisation de Charles de Foucauld, mercredi 27 mai, a provoqué une véritable onde de joie. Si un premier miracle lui avait été attribué en 2005 faisant de lui un bienheureux, la congrégation lui en a attribué un second. Il s’agit d’un miracle de préservation : en 2016, Charle, charpentier, a survécu à une chute jugée mortelle…

Il aura fallu presque 100 ans pour que le procès en béatification de Charles de Foucauld, entamé en 1926, aboutisse à sa canonisation. Après la reconnaissance d’un premier miracle en 2005 par Benoit XVI le faisant accéder au statut de bienheureux, le pape François a reconnu l’attribution au bienheureux Charles de Foucauld d’un deuxième miracle, ouvrant la voie à la canonisation prochaine du Français. « Ce deuxième miracle n’est pas une guérison (comme son premier miracle, ndlr) mais un cas de préservation dans un accident du travail », explique à Aleteia Laurent Touchagues, président des Amitiés Charles de Foucauld.

L’histoire remonte au 30 novembre 2016, veille du centenaire de la mort de Charles de Foucauld. Ce jour-là Charle, ouvrier charpentier chez Asselin, entreprise de restauration de monuments historiques, travaille sur la charpente de la chapelle de l’institution Saint-Louis, lycée catholique de Saumur. Quand tout à coup, dans l’après-midi, il fait une chute de 16 mètres de haut, traversant la voute, avant de finir empalé sur les pieds d’un banc qui était retourné. « Les médecins sont catégoriques. C’est le type même d’une chute mortelle. À cette hauteur, tous les organes explosent », soutient Laurent Touchagues.

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Président de l’entreprise pour laquelle travaille le jeune ouvrier – qui est alors âgé de 21 ans –, François Asselin est en déplacement à Paris. « Quand on m’a expliqué les circonstances de l’accident, je me suis dis que c’était fini, qu’il n’allait pas s’en sortir », confie-t-il à Aleteia. Proche de la fraternité de Marie, Reine immaculée et du père Artarit, curé de la paroisse Bienheureux-Charles-de-Foucauld à Saumur, le chef d’entreprise les contacte pour leur demander de prier pour ce jeune homme. « Nous étions à la veille du centenaire de la mort de Charles de Foucauld », se souvient-il. « Ils m’ont invité à le prier tout particulièrement ». Surtout que, de Paris, François Asselin n’arrive ni à joindre le famille du jeune homme, ni l’hôpital. Alors il se résout à passer une nuit de prière, entre angoisse et abandon. Se met ainsi en place un incroyable mouvement de prière à Charles de Foucauld pour la santé de ce jeune charpentier.

Ce n’est que le lendemain qu’il réussira à joindre la mère de l’ouvrier… qui lui assure que « tout va bien ». « De retour à Saumur, je suis allé le voir trois jours après son opération. Il était assis sur son lit d’hôpital ». C’est alors qu’il apprend qu’après sa chute, le jeune homme s’est lui-même relevé et a marché sur une cinquantaine de mètres, alors que le montant du banc lui a traversé l’abdomen et est encore en lui, afin d’aller chercher de l’aide. Six jours après son accident, Charle s’impatientait dans sa chambre d’hôpital « et deux mois après il était de retour au travail », se souvient François Asselin. « Dans cette histoire une chose est sûre, ce qu’on conclut les médecins : l’issue d’un tel accident n’aurait pas dû être celle qu’on connait aujourd’hui. Soit vous vous dites qu’il a eu une chance incroyable soit vous vous dites qu’il a eu tellement de chance qu’il y a autre chose », souligne encore le président de l’entreprise.

Une neuvaine pour le centenaire de sa mort

Voici donc pour le constat médical. Mais qu’en est-il du contexte spirituel ? Il y a d’abord le prénom du jeune homme, Charle, sans s, dont le patron n’est autre que Charles de Foucauld. Ensuite, cette chapelle est située à côté de l’école de cavalerie de Saumur dont Charles de Foucauld est un ancien officier. Cet accident, qui aurait pu être tragique a par ailleurs eu lieu quelques jours avant le centenaire de la mort de Charles de Foucauld, le 1er décembre 1916. A cette occasion le diocèse avait proposé aux fidèles une grande neuvaine pour sa canonisation. Des milliers d’images du bienheureux avaient été distribuées les précédentes semaines afin de porter la prière de chacun. « Le patron de l’entreprise Asselin est un paroissien. Il venait lui aussi de terminer une neuvaine afin de demander un second miracle pour la canonisation de Charles de Foucauld », assure le père Artarit.

À l’unanimité ils ont déclaré que ce qui était arrivé au jeune homme était inexplicable naturellement !

En lien avec le postulateur de Charles de Foucauld, le père Ardura, l’association Amitiés Charles de Foucauld se mobilise à son tour pour savoir si cela peut constituer un second miracle attribué au bienheureux. Pour mémoire, que ce soit pour la reconnaissance de vertus ou d’un miracle, il y a une double enquête faite par l’Église. La première se déroule là où a eu lieu l’événement et la seconde à Rome au sein de la Congrégation pour la cause des saints. C’est ainsi que l’enquête diocésaine démarre en 2017. « Mgr Delmas, l’évêque d’Angers a nommé une commission qui a pu interroger le jeune charpentier, des témoins, des médecins… Validant la force de cet événement, l’évêque nous a permis d’envoyer le dossier à Rome », explique Laurent Touchagues.

En images : les rares photos de Charles de Foucauld dans le désert

Démarrer le diaporama

Le dossier part donc pour Rome en mars 2019. Là encore, il y a d’abord l’étape médicale. Deux médecins sont chargés de faire une première analyse et si les deux donnent donnent un avis favorable, la procédure continue. Concernant le dossier pour Charles de Foucauld, l’avis favorable tombe à l’automne 2019. C’est ensuite au tour d’une commission médicale de se réunir. « Ce fut le cas le 14 novembre 2019 », se remémore Laurent Touchagues. « Et à l’unanimité ils ont déclaré que ce qui était arrivé au jeune homme était inexplicable naturellement ! »

La date de canonisation connue courant juin

Le dernier mot revenant à la commission théologique de la Congrégation pour la cause des saints, cette dernière se réunit finalement le 18 février 2020. Et le verdict tombe : l’ensemble des membres reconnaissent à l’unanimité le caractère surnaturel de l’événement, le validant ainsi comme miracle. « Pouvoir partager cette nouvelle avec tous est une joie immense », se réjouit Laurent Touchagues. Si l’annonce de la prochaine canonisation du bienheureux Charles de Foucauld est désormais connue, la date exacte devrait être communiquée courant juin. « C’est une réelle joie », assure également le père Artarit, « et une grande émotion », reconnaît François Asselin. « Dans la vie nous sommes tous en quête de sens, on se demande pourquoi en espérant avoir la réponse là-haut. La nous sommes encore sur Terre et nous avons eu la chance d’avoir la réponse ». Une joie partagée aussi par le jeune miraculé, pourtant non-croyant. « C’est étonnant d’ailleurs de voir ce que cela dit de Charles de Foucauld qui a passé la fin de sa vie à témoigner de Dieu auprès de non-croyants et de personnes qui ne le connaissaient pas. »

Signe d’espérance

12 juin 2020

Vendredi 12 juin 2020, une réplique de la statue de Notre Dame de Paris a été installée sur le parvis.

BRÈVES

Brèves du 13 juin 2020

Avant de partir (le 3 août) pour Madagascar où il reçoit la mission de devenir curé de paroisse en brousse,

le Père Pascal Ratiarison célèbrera deux messes d’action de grâce pour son ministère parmi nous

- à Caderousse le dimanche 28 juin à midi (église Saint Michel)

- à Orange le dimanche 5 juillet à 10h30 (à la cathédrale Notre-Dame)

Agenda paroissial

Merci aux personnes qui veulent lui manifester leur reconnaissance de lui faire parvenir directement l’expression de leur gratitude sachant qu’il ne peut pas emporter d’objets souvenirs.

Don du Sang : mardi 16 juin mercredi 17 juin de 15h à 19h30 à l’Espace Daudet. Collecte sur RDV www.resadon.fr

Groupe de prière des Sables et de l’Etang – messe de quartier

Il y aura une messe en extérieur à la salle paroissiale des Sables le vendredi 26 juin à 18h. Elle sera suivie d’un moment de convivialité en partageant le repas avec ce que nous aurons apporté. Une inscription est souhaitée pour l’organisation. Les conjoints sont aussi invités. Contacter Stanislas Tamby pour plus d’informations : tel : 06 41 99 26 91.

Prière téléphonique : Les personnes qui ont participé à la prière téléphonique à 10h00 pendant le confinement sont invitées à se retrouver le dimanche 28 juin à la messe de 9h00 célébrée à Fourchesvieilles.

AGENDA DE LA SEMAINE

Samedi 13 juin
S. Antoine de Padoue, prêtre et docteur de l’Église

11h00 Messe de semaine - Église Saint Florent

17h30 Confessions - Eglise saint Florent

18h30 Messe dominicale - Église Saint Florent

Dimanche 14 juin - Le Saint Sacrement
Solennité

09h00 Messe dominicale - chapelle de Fourchesvieilles

09h00 Messe dominicale - Chapelle de l’Hôtel Dieu

10h30 Messe dominicale - Cathédrale Notre Dame

11h00 Messe dominicale - Église St Michel

12h00 - 18h00 Fraternité séculière des Sœurs Carmélites - Chapelle de la Nativité - rue Henri Capty - Orange

17h45 Rencontre des catéchumènes - Salle paroissiale du presbytère - Orange

18h00 Messe dominicale - Cathédrale Notre Dame

Lundi 15 juin

08h30 Messe de semaine - Église Saint Florent

19h00 Messe de semaine - Cathédrale Notre Dame

Mardi 16 juin

08h30 Messe de semaine - Église Saint Florent

18h00 Messe de semaine - Église St Michel

19h00 Messe de semaine - Cathédrale Notre Dame

Mercredi 17 juin

08h30 Messe de semaine - Église Saint Florent

09h00 - 24h00 du mercredi 9h00 au jeudi 22h00 - Adoration continue -

Jeudi 18 juin

00h00 - 22h00 du mercredi 9h00 au jeudi 22h00 - Adoration continue -

08h30 Messe de semaine - Église Saint Florent

19h00 - 20h30 Conseil d’Administration de l’Association des Amis de la chapelle de Gabet - Chapelle de Gabet - Chemin du Péage - Orange

19h00 Messe de semaine - Cathédrale Notre Dame

Vendredi 19 juin - Sacré-Cœur de Jésus
Solennité

08h30 Messe de semaine - Église Saint Florent

09h00 - 20h00 Adoration continue - Oratoire St Florent - rue de l’Hôpital - ORANGE

19h00 Messe de semaine - Cathédrale Notre Dame

20h30 - 22h00 Veillée Miséricorde, Adoration, Consolation, Confessions avec la Communauté de l’Emmanuel - Eglise saint Florent - rue de l’Hôpital - Orange

Samedi 20 juin
Le Cœur immaculé de Marie

11h00 Messe de semaine - Église Saint Florent

17h30 Confessions - Eglise saint Florent

18h00 - 19h30 APROOR – Concerts et manifestations - Fête de la musique - Orgue et violoncelle- entrée libre Jean-Michel Robbe, orgue- titulaire des Orgues de St Michel de Frigolet et Evelyne Robbe - Cathédrale Notre Dame de Nazareth et de tous les saints - rue Notre Dame - Orange

18h30 Messe dominicale - Église Saint Florent

Dimanche 21 juin - 12e dimanche du Temps Ordinaire

09h00 Messe dominicale - chapelle de Fourchesvieilles

09h00 Messe dominicale - Chapelle de l’Hôtel Dieu

10h30 Messe dominicale - Cathédrale Notre Dame

10h30 Messe dominicale - Chapelle du Grès

11h00 Messe dominicale - Église St Michel

17h45 Rencontre des confirmands adultes - Salle paroissiale du presbytère - Orange

18h00 Messe dominicale - Cathédrale Notre Dame