feuille paroissiale du 14 novembre 2020

15 novembre 2020

LETTRE D’INFORMATIONS DU 14 NOVEMBRE 2020

Avance au large !

Avance au large…. Telle est l’invitation que Jésus adresse à Simon, avant de lui suggérer de lancer ses filets de pêche. Et, bien que Simon vienne de passer la nuit sans prendre aucun poisson (son travail quotidien) il accepte sur la Parole du Christ de remettre sa barque à l’eau et de se diriger cette fois-ci vers les profondeurs.

Les moments que nous vivons sont identiques à la nuit qu’a vécue Simon avant de se remettre au travail…. Cette nuit, ce sont ces journées qui nous paraissent parfois longues, très longues. L’ennui risque à tout moment de faire son apparition. Il représente une sorte de suspension du temps : « il ne se passe rien » . C’est un trou dans l’être : « les journées sont creuses ». Elles n’ont ni sensations, ni direction, ni signification : en un mot elles n’ont pas de sens. Ne parle-t-on pas de « grisaille de la vie » pour désigner une vie monotone, c’est-à-dire vécue dans l’uniformité des jours qui se suivent et se suivent encore, inlassablement identiques à eux-mêmes.

Alors face au vide de l’ennui, la stratégie la plus classique est d’essayer de « tuer le temps ». Mais chacun sait que le temps ne se tue pas. Il exige qu’on ait avec lui un rapport d’accueil et de juste maîtrise.

La personne qui s’ennuie est donc confrontée à la complexité de son être. Elle est conduite très rapidement à reconnaitre le terreau dans lequel s’enracine ses passions et ses vertus. Elle découvre avec humilité la part de sagesse contenue dans le proverbe « l’oisiveté est la mère de tous les vices » et perçoit mieux la fragilité de la frontière entre le vice et la vertu. On comprend mieux, dès lors, que laisser s’installer l’ennui en soi-même, que de ne pas aider un proche à lutter contre lui, sont des attitudes décourageantes. Notre Dieu, Dieu des vivants, qui ouvre une histoire tumultueuse de libération (Ex 20,2) ne saurait accepter une telle réalité. Le suivre, c’est toujours entrer dans une histoire qui, malgré la traversée de certains déserts monotones, s’avère surprenante.

Alors quelle stratégie adopter pour lutter contre le pouvoir dévastateur de l’ennui ? La réponse semble évidente : ne pas le laisser s’installer, rechercher et accueillir tout ce qui peut faire sens ainsi que tout ce qui incline à inventer du sens…. faire le nécessaire pour avoir accès à des lieux de sens : un intéressant travail manuel ou intellectuel, une riche vie relationnelle et affective, une réelle fécondité éducative ou culturelle, une découverte plus grande et plus vraie de Dieu… bref découvrir des gisements de sens là où un regard hâtif et superficiel ne les voit pas…. apprendre à regarder autrement les petites choses qui seront désormais un lot quotidien. On découvrira alors que la banalité est moins banale qu’il n’y parait. S’ouvrira ainsi un humble mais authentique chemin de contemplation. Bien plus, on sera amené à percevoir toujours plus la richesse de cette parole paulinienne « Tout subsiste en Christ » (Col.1,17). Parole qui invite à regarder les choses de la vie quotidienne comme on regarde une icône, c’est-à-dire en acceptant d’y découvrir la Réalité christique qui la fonde et l’anime. Mais un tel regard exige de « voir » avec le cœur, et, qui plus est, avec un cœur habité par l’Esprit, car seul « l’Esprit Saint scrute tout, jusqu’aux profondeurs divines » (1 Co 2,10).

« Ne cède pas aux peurs que provoquent les incompréhensions du monde. Je suis là. Avance au large. Tu verras alors comme il est bon de laisser chanter la harpe de l’Evangile au vent de ta culture. »

Père Emmanuel DELUEGUE

ACTUALITÉS

Homélie sur la parabole des talents

pour le 33e dimanche du Temps Ordinaire Année A par le Père Emmanuel Deluegue

Dans la parabole que l’Evangile nous propose, il y a un message certain : personne n’est laissé sans talent. Et même mieux : chacun reçoit en fonction de ses capacités, de ce qui est possible pour lui.

Considérons la situation de ce serviteur de la parabole qui n’a reçu qu’un seul talent : cet homme est l’exemple de celles et ceux qui, dans notre société mais aussi dans notre Eglise, agissent d’abord par peur au lieu de risquer leur vie sur la confiance. Quand on accepte de relire cette parabole de l’Evangile autrement que dans la perspective d’une séance de remise des prix, on trouve ici le condensé des attitudes et des choix les plus significatifs de notre société. En résumé : « Entre la peur et la confiance, choisis donc la confiance. »

La confiance… Il ne s’agit pas de faire l’éloge de l’insouciance. Il ne s’agit pas non plus de refuser la lucidité car la confiance n’est pas aveugle. L’Evangile rejoint simplement notre expérience humaine la plus profonde : il n’y a de confiance que dans la relation. On pourrait dire, s’agissant de Dieu (mais aussi de toutes ces relations qui sont sources de vie) que confiance rime avec alliance. C’est pour cela que la foi est si importante dans l’Evangile, car le contraire de la foi, ce n’est pas le doute (il peut au contraire devenir le lieu ouvert à nos questionnements bien légitimes et parfois nécessaires) …. mais le contraire de la foi, c’est la peur.

Nous ne pouvons vraiment faire confiance qu’à partir du moment où nous avons fait l’expérience d’une relation où quelqu’un nous fait confiance. Dans la foi chrétienne, c’est le cœur de tout le message : nous pouvons faire confiance parce que Dieu, le premier, nous fait confiance. Revenons à ce serviteur qui n’avait reçu qu’un seul talent… et qui était donc celui qui avait le moins à rendre…. et peut-être de cette façon le plus à donner. La figure de ce serviteur qui n’a reçu qu’un talent, nous la retrouvons à la Génèse de l’humanité en la personne d’Adam qui s’était vu confier un jardin avec ses arbres et ses plantes. Et Dieu lui dit : « Cultive tous ces arbres et toutes ces plantes…. mais accepte que je m’en réserve un. » Adam le prit très mal. Il y eut du soupçon et de la jalousie dans son cœur ; Il entrait, par manque de confiance, dans le cercle vicieux de la méfiance et de la peur. Et ce fut le péché par manque de foi qu’on appelle aussi « péché originel ». Non pas des origines au sens seulement chronologique, mais au sens de ce qui est à l’origine de l’homme, de ce qui fait son identité profonde : être un homme capable de relations et de confiance. En Jésus-Christ, et la parabole des talents en est un exemple, Dieu est venu briser définitivement le cercle vicieux de ce qu’est le péché originel.

Que la confiance balaie nos peurs et nous connaîtrons le vrai bonheur. C’est la promesse de Dieu qui rejoint le désir de l’homme. C’est la bonne nouvelle de cette page d’Evangile.

Père Emmanuel Deluëgue

COLLECTE NATIONALE DU SECOURS CATHOLIQUE

UN RENDEZ-VOUS ANNUEL DE LA CHARITÉ CHRÉTIENNE

Aujourd’hui, l’impact économique de la crise sanitaire que nous traversons est réel et de nouveaux publics ayant besoin de soutien se tournent vers notre association.

Pour poursuivre notre mission, nous avons besoin de vous !

Le 14 & 15 novembre, le Secours Catholique-Caritas France lance sa Campagne Collecte Nationale 2020. En cette année 2020, notre grande campagne nationale annuelle de collecte de novembre/décembre s’annonce plus que jamais essentielle ! 

En Vaucluse, depuis le début de la crise sanitaire, le Secours Catholique constate un accroissement important du nombre de personnes qui contactent ses 31 équipes locales. Il s’agit notamment de personnes qui n’étaient pas connues par le réseau et qui font part de leurs nouvelles difficultés, ainsi qu’une forte augmentation du nombre de personnes en très grande précarité, se retrouvant à la rue, à Avignon.

Actuellement, l’Accueil de Jour du Secours Catholique rencontre jusqu’à 160 personnes par jour en Avignon.

A Orange, l’atelier vélo continue à accueillir le samedi matin, montée Julia Berthet. L’épicerie solidaire s’apprête à rouvrir après avoir connu un dégât des eaux.

Cette année encore, la Journée Nationale du Secours Catholique aura lieu les 14 & 15 novembre, le même jour que la Journée Mondiale des Pauvres, instaurée par le pape François, les offrandes faites ce dimanche à la cathédrale seront destinées au Secours Catholique.

Il est possible de donner directement en ligne.

Les dons recueillis financeront leurs actions auprès des sans-abris, des familles précaires, des personnes isolées, mal logées, sans emploi, des enfants et des jeunes en difficultés.

Merci de votre soutien.

Secours Catholique 2020

« Tends ta main au pauvre » affirme le Pape François pour la 33° journée mondiale des pauvres

7 novembre 2020

Instituée par le pape François et fixée au 33e dimanche du temps ordinaire, la quatrième édition de la Journée mondiale des pauvres aura lieu le 15 novembre 2020. Le Saint-Père nous encourage à prendre en charge le fardeau des plus faibles, car le but de toute action « ne peut être que l’amour ».

« La pauvreté prend toujours des visages différents qui demandent une attention à chaque condition particulière : dans chacune d’elles, nous pouvons rencontrer le Seigneur Jésus qui a révélé sa présence dans ses frères les plus faibles (cf. Mt 25, 40) », explique d’abord François pour introduire sa réflexion.

Être dans le besoin et avoir confiance

Dès les premières pages, le Livre de Ben Sira dont est issu le thème de ce message donne des conseils relatifs à la pauvreté. Il insiste sur le fait que, dans le besoin, il faut avoir confiance en Dieu, relève le Pape : « Ne t’agite pas à l’heure de l’adversité. Attache-toi au Seigneur, ne l’abandonne pas, afin d’être comblé dans tes derniers jours. Toutes les adversités, accepte-les ; dans les revers de ta pauvre vie, sois patient. Dans les maladies comme dans le dénuement, aie foi en lui. Mets ta confiance en lui, et il te viendra en aide ; rends tes chemins droits, et mets en lui ton espérance. Vous qui craignez le Seigneur, comptez sur sa miséricorde, ne vous écartez pas du chemin, de peur de tomber. » (Si 2, 2-7).

Accompagner la prière du service aux pauvres

Ainsi, en déduit le Saint-Père dans son message, la prière à Dieu et la solidarité avec les pauvres et les souffrants sont « inséparables ». Pour célébrer un culte qui soit agréable au Seigneur, il est nécessaire de reconnaître que toute personne, même la plus indigente et la plus méprisée, porte l’image de Dieu imprimée en elle, précise-t-il.

De cette attention découle « le don de la bénédiction divine », attirée par la générosité pratiquée à l’égard du pauvre. Par conséquent, le temps consacré à la prière ne peut jamais devenir un alibi pour négliger le prochain en difficulté, avertit le Successeur de Pierre. Le contraire, aussi, est vrai : la bénédiction du Seigneur descend sur nous, et la prière atteint son but quand elle s’accompagne du service des pauvres.

Ainsi, ce choix de consacrer une attention aux pauvres, à leurs nombreux et divers besoins, ne peut être conditionné seulement par le temps disponible ou par des intérêts privés, ni par des projets pastoraux ou sociaux désincarnés, estime l’évêque de Rome. « On ne peut étouffer la force de la grâce de Dieu par la tendance narcissique de toujours se mettre à la première place ».

Le regard vers le pauvre, bonne direction

Car en effet, avoir le regard tourné vers le pauvre « est difficile », mais « plus que jamais nécessaire » pour donner à notre vie personnelle et sociale la bonne direction. Et François de détailler ainsi cette confrontation avec la pauvreté :

« Chaque rencontre avec une personne en situation de pauvreté nous provoque et nous interroge. Comment pouvons-nous contribuer à éliminer ou, du moins, à soulager sa marginalisation et sa souffrance ? Comment pouvons-nous l’aider dans sa pauvreté spirituelle ? », interpelle-t-il.

Vivre personnellement la pauvreté évangélique

La communauté chrétienne est, elle, bien appelée à s’impliquer dans cette expérience de partage, sachant qu’il ne lui est pas permis de la déléguer à qui que ce soit. Une condition existe : « pour être un soutien aux pauvres, il est fondamental de vivre personnellement la pauvreté évangélique ».

Conscient que l’Église n’a « pas de solutions globales à proposer », le Pape insiste sur son devoir de « présenter les instances de ceux qui n’ont pas le nécessaire pour vivre ». Mais aussi, de rappeler à tous la grande valeur du bien commun, de n’oublier aucun de ceux dont l’humanité est violée dans ses besoins fondamentaux.

Les mains tendues du quotidien

« Que de mains tendues pouvons-nous voir tous les jours ! Malheureusement, il arrive de plus en plus souvent que la hâte entraîne dans un tourbillon d’indifférence, au point que l’on ne sait plus reconnaître tout le bien qui se fait quotidiennement, en silence et avec grande générosité », déplore ensuite le Saint-Père, soulignant que « malgré les mauvaises nouvelles qui abondent sur les pages des journaux, des sites internet et des écrans de télévision, la vie est tissée d’actes de respect et de générosité qui, poussent à être remplis d’espérance ». 

Tendre la main apparaît donc comme un signe, qui rappelle immédiatement la proximité, la solidarité, l’amour.

« La main tendue du médecin qui se soucie de chaque patient en essayant de trouver le bon remède. La main tendue de l’infirmière et de l’infirmier qui, bien au-delà de leurs horaires de travail, sont restés pour soigner les malades. La main tendue de ceux qui travaillent dans l’administration et procurent les moyens de sauver le plus de vies possibles. La main tendue du pharmacien exposé à tant de demandes dans un contact risqué avec les gens. La main tendue du prêtre qui bénit avec le déchirement au cœur. La main tendue du bénévole qui secourt ceux qui vivent dans la rue et qui, en plus de ne pas avoir un toit, n’ont rien à manger. La main tendue des hommes et des femmes qui travaillent pour offrir des services essentiels et la sécurité ». Des mains qui ont défié la contagion et la peur pour apporter soutien et consolation.

L’expérience impuissante de la pandémie

Le Pape François explique combien cette pandémie arrivée à l’improviste nous a pris au dépourvu, laissant un grand sentiment de désorientation et d’impuissance.

« Nous nous sentons plus pauvres et plus faibles parce que nous avons fait l’expérience de la limite et de la restriction de la liberté. La perte du travail, des relations affectives les plus chères, comme l’absence des relations interpersonnelles habituelles, a tout d’un coup ouvert des horizons que nous n’étions plus habitués à observer. Nos richesses spirituelles et matérielles ont été remises en question et nous avons découvert que nous avions peur. Enfermés dans le silence de nos maisons, nous avons redécouvert l’importance de la simplicité et d’avoir le regard fixé sur l’essentiel. Nous avons mûri l’exigence d’une nouvelle fraternité, capable d’entraide et d’estime réciproque », écrit-il.

C’est donc un temps favorable pour reprendre conscience que nous avons besoin les uns des autres, relève le Pape, résumant l’enjeu ainsi : « Les graves crises économiques, financières et politiques ne cesseront pas tant que nous laisserons en état de veille la responsabilité que chacun doit sentir envers le prochain et chaque personne ».

« Tends la main au pauvre », est donc une invitation à la responsabilité, une incitation à prendre en charge le poids des plus faibles, comme le rappelle saint Paul : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. (…) Portez les fardeaux des uns les autres » (Ga 5,13-14 ; 6,2).

La mondialisation de l’indifférence

Le Saint-Père développe enfin l’indifférence et le cynisme contemporains. « Quelle différence par rapport aux mains généreuses que nous avons décrites ! Il y a, en effet, des mains tendues qui touchent rapidement le clavier d’un ordinateur pour déplacer des sommes d’argent d’une partie du monde à l’autre, décrétant la richesse des oligarchies et la misère de multitudes ou la faillite de nations entières. Il y a des mains tendues pour accumuler de l’argent par la vente d’armes que d’autres mains, même celles d’enfants, utiliseront pour semer la mort et la pauvreté. Il y a des mains tendues qui, dans l’ombre, échangent des doses de mort pour s’enrichir et vivre dans le luxe et le désordre éphémère. Il y a des mains tendues qui, en sous-main, échangent des faveurs illégales contre un gain facile et corrompu. Et il y a aussi des mains tendues de ceux qui, dans l’hypocrisie bienveillante, portent des lois qu’eux-mêmes n’observent pas », dénonce-t-il dans ce panorama empreint de « la mondialisation de l’indifférence ».

Des mains de justice et de paix

« Nous ne pourrons pas être heureux tant que ces mains qui sèment la mort ne seront pas transformées en instruments de justice et de paix pour le monde entier », en déduit le Saint-Père, avant de rappeler que « toute vie a une fin ».

Se souvenir du destin commun, en effet, peut aider à mener une vie sous le signe de l’attention aux plus pauvres, selon François. Mais il y a aussi une deuxième interprétation : la fin de notre vie demande un projet à réaliser, un chemin à accomplir sans se lasser. Se souvenir que le but de chacune de nos actions « ne peut être autre que l’amour ».

Source : d’après Vatican News

Retrouvez la déclaration intégrale du Pape en téléchargement ci-contre

DATES ET LIEUX

Dimanche 15 novembre

« Tends ta main au pauvre » affirme le Pape François pour la 33e journée mondiale des pauvres

À définir

TÉLÉCHARGER

Message du Pape François pour la Journée mondiale des pauvres 2020 (PDF - 120.5 ko)

ACAT

Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture et contre la peine de mort

Groupe œcuménique se réunissant une fois par mois pour 1h de prières, d’échanges, d’informations de partages et d’actions. Distribution des appels du mois aux différents lieux de culte dans et autour d’Orange.

Défendre les droits de l’Homme sans distinction idéologique, ethnique ou religieuse.

Le recours à la torture et à la peine de mort comme solutions aux défis de notre temps sont inacceptables et doivent être combattus. L’ACAT est engagé dans l’accueil des réfugiés.

« Cela veut dire beaucoup pour les personnes opprimées de savoir qu’elles ne sont pas seules. Ne laissez jamais personne vous dire que ce que vous faites est insignifiant. » Desmond Tutu

« Nous réalisons que ce que nous accomplissons n’est qu’une goutte dans l’océan. Mais si cette goutte n’existait pas dans l’océan, elle manquerait. » Mère Thérésa

« Alors, n’allez pas croire que ce que vous faites n’a pas d’importance, parce que ça en a. Je vous aimerai toujours. » Chucky depuis les couloirs de la mort au Texas

INFOS PRATIQUES

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AGENDA DE LA SEMAINE

Samedi 14 novembre

10h00 Prière par téléphone - Composer le 01 84 14 15 17 puis, une fois la communication établie, le code 75 55 71 suivi de # - Par téléphone

Dimanche 15 novembre - 33e dimanche du Temps Ordinaire

10h00 Prière par téléphone - Composer le 01 84 14 15 17 puis, une fois la communication établie, le code 75 55 71 suivi de # - Par téléphone

12h00 Journée mondiale des pauves + Secours Catholique -

Lundi 16 novembre
Ste Marguerite d’Ecosse, Ste Gertrude, vierge

10h00 Prière par téléphone - Composer le 01 84 14 15 17 puis, une fois la communication établie, le code 75 55 71 suivi de # - Par téléphone

Mardi 17 novembre
Ste Elisabeth de Hongrie

10h00 Prière par téléphone - Composer le 01 84 14 15 17 puis, une fois la communication établie, le code 75 55 71 suivi de # - Par téléphone

15h00 - 19h30 Don du sang à l’Espace Alphonse Daudet - Orange - Collecte sur RDV : mon-rdv-dondesang.efs.sante.fr - Sur RDV : mon-rdv-dondesang.efs.sante.fr - Espace Alphonse Daudet - Orange

Mercredi 18 novembre
Dédicace des basiliques de S. Pierre et de S. Paul, apôtres

10h00 Prière par téléphone - Composer le 01 84 14 15 17 puis, une fois la communication établie, le code 75 55 71 suivi de # - Par téléphone

Jeudi 19 novembre

10h00 Prière par téléphone - Composer le 01 84 14 15 17 puis, une fois la communication établie, le code 75 55 71 suivi de # - Par téléphone

Vendredi 20 novembre

10h00 Prière par téléphone - Composer le 01 84 14 15 17 puis, une fois la communication établie, le code 75 55 71 suivi de # - Par téléphone

Samedi 21 novembre
Présentation de la Vierge Marie

10h00 - 12h00 Réunion du conseil pastoral en conférence téléphonique - Par téléphone

10h00 Prière par téléphone - Composer le 01 84 14 15 17 puis, une fois la communication établie, le code 75 55 71 suivi de # - Par téléphone

Dimanche 22 novembre - Notre Seigneur Jésus Christ Roi de l’Univers
Solennité

10h00 Prière par téléphone - Composer le 01 84 14 15 17 puis, une fois la communication établie, le code 75 55 71 suivi de # - Par téléphone